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1.07.2010

Convaincre pour Vaincre

(Convencer para Vencer)

Ici debute la série d´images (…) du cancer que je souhaite poursuivre aussi sur ces réseaux (Internet). Néanmoins, une remarque concernant ce compte, pour le moment du moins, assembler ici tous les fragments en une construction cohérente est impossible alors qu´il y manque tant de pièces essentielles.
Enfin, l´accroissement d´efficacité de la lutte contre le cancer doit maintenant passer par la compréhension du phénomène. Les clés du passage de la cellule à la tumeur, au niveau du tissu néoplasique sur molécules synthétisées qui déclenche la transformation cancéreuse, puis à la maladie et à la fatalité de son évolution (naturelle) nous sont trop inconnues. On observe, on constate, on décrit, certe, mais on ne comprend toujours pas la «carte d´identité de cette maladie». Les interrogations sur ce langage codé pourssuivent. Autre exemple: “ la cause inconnue qui a entraîné une diminution des cancers de l´estomac est peut-être la même qui est responsable de l´augmentation des cancers du côlon ” selon l´Institut d´Oncologie Portugais (IPO).
Si tous les processus tumoraux étaient causés par des virus, l´histoire de l´oncogenèse serait assez simple. Mais à part quelques exceptions, dont le promoteur viral attribué à des hématosarcomes (lymphomes de Burkitt, etc) ou tout autres indispensables à la mise en route de la cancérisation primitive du foie, col utérin, etc.., les cancers surviennent dans l´espèce humaine sans l´intervention de virus. On connaît deux ordres de facteurs qui favorisent la genèse de cancer: les radiations, depuis le début du siècle dernier avec l´éclosion de cette maladie chez les premiers radiologues, et certains produits chimiques, depuis l´observation du cancer du scrotum des ramoneurs par Percival Pott en 1775.

La maladie cancéreuse est un concept général qui englobe tous les cas et symbolise l´unité fondamentale du Cancer. Les (nouvelles) mesures de prévention, reposantes sur la grande diversité des tumeurs qui diffèrent par leur localisation, leurs histologie, leur évolution, pronostic et traitement à un stade précoce. Il s´imposait de mettre de l´ordre dans ce «fouillis» faussement anodin. Après le passage de la maladie cancéreuse à la collection ardonnée de cancer, la démarche, logique selon moi, voudrait que chacun d´eux soit abordé séparément sous la nomenclature antomique et histologique codée de l´OMS, dont le vaste chapitre consacré à l´oncologie (CIM-O). La classification TNM (destinée à l´usage pragmatique quotidien en clinique) n´est plus discutable. Enfin il y faudrait une bibliotèque entière en ouvrages spécialisés.

Tout compte fait, PRÉVENIR est à l´ordre du jour. L´efficacité des thérapeutiques anticancéreuses est le résultat d´une «lutte contre la montre» entre le diagnostic et la maladie. Cliniquement parlant, paradoxalmente, ce dépistage (prématuré) des cancers, à leur tout début, présentant des difficultés qui en rendent l´application très limitée. On attache de plus en plus d´intérêt à une catégorie de lésions qui, sans être malignes (…) par elles mêmes, peuvent faire le «lit du cancer». Par ailleurs, quels que soient le siège, l´aspect et la nature de la lésion d´origine, bien que ces cancer in situ soit des lésion (hiperplasie, métaplasie, etc..) ambiguës qui embarrassent les cancérologues, comme dans un monde magique de dessins animés sans réalité sensible, les (dé)marches portugaises (Maratona BTT; Corridas EDP; etc..) ne suffissent plus! Cette situation en est le centre de toutes études cancérologiques (préventives) et mérite une action éducatrice attentive efficace en cohabitation des comportements - rebelles - humains. La plupart de ceux-ci, comparables à l´impasse HIV, piétinent obligatoirement sur la faille de raisonnement (disciplinaire) sans une (la) véritable «révolution culturelle»..

En attendant on ne peut se fonder que sur l´observation des groupes humains caractérisés ou sur la multiciplité des hipothèses. Les rôles du tabac, de l´alcool, de l´hépatite virale, du virus de Epstein-Barr (mononucléose infectieuse) et Sida sont solidement établis, oui, mais n´ont pas, sauf pour la vaccination contre le virus de l´hépatite ou l´épidémiologie récente (H1N1), abouti à des mesures de prévention efficaces. Sur ce point, tout le monde a son mot à dire! Cancérologues, bien entendu, mais aussi chirurgiens, radiologistes, biologistes, statisticiens, sociologues, voire juristes et moralistes. Certains médias s´accommodent en respectant la «consigne du silence» de l´hypocrisie, malgré les efforts du monde médical. Les futures recherches sur cette prévention semblent plutôt devoir porter sur un enchaînement constructif des facteurs de conduite alimentaire. Sans suivre le détour de la souplesse, ni même aproximative, sur l´alcool et le tabac des dernières décennies, l´avenir de la «prévention honnête» (au Portugal) passe avant tout par l´élimination sérieuse des obstacles liés à des questions de profits particuliers et étatiques «pourvoyeurs de mort». Sommairement, aujourd´hui on ne peut se contenter de romans et de films, fussent-ils de qualité, de récits autobiographiques, fussent-ils sincères et attachants, et d´émissions de télévision où les séquences arides sont entrecoupées de chansons. Le cancer est un sujet grave qui mérite une information sérieuse. Pour les médias, plus de doutes! le dernier pas à franchir pour que ce mystère soit entièrement éclaireci est donc de passer à l´échelon supérieur!


Laetitea

10.06.2009

Le Zoom du Cancer



Certaines maladies viennent d´entrées dans une ère nouvelle. Le cancer, oui parlons-en. L´événement marquant de son histoire récente est sa sortie de la «clandestinité» à laquelle le condamnait une tacite convention social. Symbole de fatalité, alors que le pronostic était jadis très sombre, son nom était proscrit du vocabulaire jusque dans les notices nécrologiques, qui usaient de périphrases «pudibondes» pour évoquer le mal sacré.
Or, voici qu´en quelques années, la situation s´est inversée, ce «prédateur silencieux» a fait dans les médias une entrée tapageuse. Ce qui était tu est, aujourd´hui, affiché, commenté et discuté. Pourquoi ce besoin soudain de PUBLICITÉ?

Pour tous professionnels de l´industrie télévisuel, parler d´ordinaire est donc une facilité, mais «ordinaire» est de ces mots que l´histoire du langage a chargés, au point de les faire se contredire. Ce mot ne désigne plus, dans l´usage audiovisuel courant, que le non-extraordinaire, le quelconque. Il ne résonne plus que faiblement, en français, portuguais ou espagnol (un peu plus fort dans d´autres langues) de ce qu´il contin d´ordre, d´ordonnancement, c´est-à-dire du moyen même de faire échapper le banal au banal. Les causes de ce revirement sont en effets multiples, aucune n´ayant à elle seule opéré de miracle. L´arrière-plan favorable à l´eveil médiatique de cette maladie a été (est) le développement des préoccupations sociales, comme dans le cas de la toute nouvelle grippe A (sous-type H1N1). La PRÉVENTION en est le coeur!

Cette «prévention» semblerait-elle masqué par les innombrables règles de la bienséance, malgrés les efforts de quelques médias et surtout du monde médical, sans une véritable «révolution culturelle» qui en dépasse largement le cadre. Un vent iconoclaste contre les tabous s´est enfin levé en tempête. Une subite passion de vérité s´est attaquée à la dénonciation des hipocrisies dangeureuses. De ce coup, au Portugal comme coté français, en fraulant (hautement) les détails du journalisme télévisé, les tiroirs secrets de la société ont été fracturés: les pulsions homicides, les déviations sexuelles, les dangers de la civilisation industrielle, la misère du tiers monde, la névrose envers les dangers du cancer! Le «snobisme de la franchise» a mis au goût du jour l´exhumation des interdits. La ténacité des médias, dont la candeur n´est pas (plus) insoupçonnable, a certainement attisé l´appétit «d´informations filmiques» interdites à l´écran. La médecine n´a pas échappé à leur voracité, et le public est aujourd´hui gavé de pathologie et de thérapeutique. Les émissions de télévision ont rivalisés d´intérêt pour les greffes dur coeur, les manipulations génétiques, la fécondation artificielle, l´euthanasie, l´avortement (sans ma complicité), les handicaps physiques et mentaux, SIDA et, couronnant le tout, la pendémie de la recente grippe type A.

Le cancer, source s´il en fut de situation tragiques, était une proie toute désignée pour les dispensateurs d´émotions fortes! Par le biais sentimental, il est devenu, du jour au lendemain, un sujet d´actualité. Mon actualité. La télévision, exploitant certes le sensationnel, monte en épingle ces cas meurtriers. Cette notion de prévention n´a été clairement perçue, jusqu´a notre siècle, que pour les maladies épidémiques. Par un retournement d´attitude dû à un besoin général de protection, l´avenir de la prévention passe nécessairement par une action éducatrice devenue une préoccupation (presque une exigence) sur les risques professionnels, les radiations ambiantes, rayons ultraviolets et beaucoup d´autre coupables directs, deux seulement d´entre eux peuvent prétendre au rôle de «vedette cancérogène», l´alcool et le tabac (tueur protagoniste nº1 avec effet synergique additif pour la silicose).
Le rôle de l´alimentation est aussi confirmé! La comparaison de la prévalence des tumeurs malignes dans des populations soumises à des régimes alimentaires différents, montre des disparités trop importantes et régulières pour être attribuées à des variations aléatoires. Le taux de mortalité par tumeurs est plus élevé dans les pays à haute relation (de modernité) calorique et forte consommation de viande et de graisses animales!
Cette polyphonie de l´enjeu est dans l´air " qui va restreindre l´audace du combat, malgré la lourdeur financière des milliers de EUROS, relégué aux spots publicitaires en échec ou déclarer l´assaut aux producteurs de vin avec diplomatie? "
La maladie cancéreuse n´a pas échappé à cette revendication de sécurité. Selon mon enquête, l´influence suivant le siège et l´âge sont richement importantes. Nos meilleures volontés s´y emploient sans grand sucçès jusqu´ici, puisque le nombre de Leucémies et Lymphomes (hématosarcomes) ne cesse d´augmenter chez les sujets très jeunes.
Pour parachever le tout, il y a deux jours, j´ai dû me rendre à des centaines de kms de Lisbonne pour prendre en scène un tremblant probleme: La greffe de moelle osseuse d´un petit garçon de six ans. Le public est sensibilisé par les médias aux greffes de moelle, sans toujours bien comprendre ce dont il s´agit. La greffe de moelle n´est pas un traitement des leucémies, elle n´est qu´un moyen de protéger la survie du (jeune) malade après le traitement proprement dit, qui consiste en une radiothérapie de la totalité du corps à dose mortelle. Il est difficile de prédire l´avenir de la méthode, qui se heurte à un gros obstacle pratique: difficulté de trouver des donneurs compatibles.


En conclusion

Tout compte fait, faut-il s´armer, sous la persévérance brutal des bâtisseur de cathédrales, de Spots publicitaires d´une realitée tranchante pour y parvenir?! mon espoir n´est pas nul, je suis certaine que les règles du jeux seront raisonnables, le succès final certain.. à condition que les pouvoirs et le public veuillent bien coopérer. En France comme au Portugal, l´avenir de la prévantion frappe nécessairement le coeur de l´action éducatrice en ciblant l´impact émotif!




Laetitea